Je m’appelle Cécile Levadou et je suis coach intuitive en reconversion et développement professionnels.
J’ai toujours su que j’étais faite pour aider, accompagner et guider les autres.
Depuis ma prime enfance, où que j’aille, il y a toujours quelqu’un qui vient me voir pour me raconter ses difficultés ou me demander un renseignement. Quand ils repartent, ils me disent souvent que je les ai apaisés et je vois bien qu’ils ont retrouvé le sourire.
Mais ça m’a pris plus de 20 ans pour identifier comment je pouvais en faire une activité qui me fasse vibrer. Parce que je ne me voyais pas non plus devenir thérapeute ; du moins pas à 100% de mon temps.
J’ai ainsi exercé plusieurs métiers, de l’assistanat à la direction d’entreprise (une start-up innovante), en passant par l’animation d’ateliers bien-être, la gestion de projets, le conseil aux entreprises, le webmastering ou la création de formations.
L’apprentissage de ces (nombreux !) métiers tout comme la découverte de multiples secteurs d’activité (le luxe, l’industrie cosmétique, les Ministères, la bancassurance, l’innovation, l’e-commerce, les media, la recherche…) ont suffisamment répondu à mon besoin de curiosité pour me tenir en haleine toutes ces années.
Le plus souvent, j’aimais ce que je faisais. Mais régulièrement le manque de sens et la souffrance de ne jamais me sentir vraiment à ma place revenait. Et ça créait aussi en moi un sentiment d’illégitimité.
Alors je travaillais sur moi et cherchais de nouveaux outils pour toujours mieux me connaître et enfin me trouver.
J’avais bien fini par identifier deux grands domaines qui me plaisaient plus que les autres : l’entrepreneuriat et le bien-être mais je n’arrivais pas à concilier les deux et me sentais écartelée entre ces deux mondes.
J’avais l’impression que je devais toujours masquer une partie de moi : la partie profondément structurée, pragmatique et orientée business lorsque j’évoluais dans le bien-être ; et la partie intuitive, connectée, qui travaille avec les énergies lorsque j’évoluais dans l’entrepreneuriat.
J’avais également toujours la frustration de ne pas exploiter l’intégralité de mes compétences. Même lorsque j’évoluais dans le bien-être il me fallait choisir une casquette parmi tous mes outils : celle de la kinésiologue, la numérologue, la scanneuse thérapeutique (c’est de la lecture énergétique), celle qui fait des soins énergétiques, celle qui enseigne la gestion du stress ? …
J‘étais partout et donc nulle part. Et ça freinait clairement ma capacité à communiquer sur ce que je faisais et donc à me rendre visible dans mon activité. Et hop, voilà comment on se crée une souffrance supplémentaire : celle de ne pas contribuer à la hauteur de la puissance qu’on sent au fond de soi.